Qui sommes-nous

Martine Schmit

J’ai ouvert ma nouvelle bijouterie au 40 Grand-rue à Luxembourg-Ville depuis 2023.

Auparavant, mon équipe et moi occupions un local plus confidentiel dans les galeries Brasseur. Pour être plus précise, j’exerce mon activité de maître-bijoutier depuis 1999 à Luxembourg-Ville. D’abord seule dans un petit local sur le chemin de la corniche (d’où le nom de ma bijouterie). Puis, au fur et à mesure de la reconnaissance de mon travail, des collaborateurs ont rejoint mon projet et aujourd’hui nous sommes une formidable équipe de six artisans-bijoutiers.

Le succès est au rendez-vous. Ma clientèle apprécie mon style, ma créativité et me fait confiance depuis de nombreuses années. J’aime le style post-industriel qui met en valeur la structure des matériaux et la profondeur des pierres. Chacune de mes créations est réalisée à la main dans l’atelier, au premier étage de ma bijouterie. Ainsi, mon équipe et moi sommes à même de collaborer sur les demandes précises de nos clients.

Depuis l’ouverture de ma nouvelle bijouterie, nous avons relevé plusieurs défis, notamment l’organisation d’une semaine sous l’expertise de gemmologues et de diamantaires qui ont assisté et conseillé mes clients et visiteurs. Cet événement, organisé dans le cadre de la célébration de mes 25 ans d’activité, m’a donné envie de m’ouvrir à de nouveaux projets de créations de bijoux.

Lorsque Béatrice m’a proposé de réaliser les premiers spécimens de charivaris luxembourgeois, j’ai été curieuse et enthousiaste de réaliser des créations de bijoux spécialement destinées aux hommes.

Je vous laisse découvrir les premiers charivaris luxembourgeois en exclusivité, dessinés par Béatrice et réalisés par l’équipe de Corniche Bijoux.

Béatrice Warichet

Cela fait une dizaine d’années que j’ai obtenu la nationalité luxembourgeoise. Etant d’origine bruxelloise, j’ai appris tardivement la culture luxembourgeoise – et son sens de la fête.

J’ai été invitée à ma première Oktoberfest luxembourgeoise en 2020 et si je n’y ai rien compris, j’ai été séduite par les tenues, les symboles traditionnels et la bonne humeur du public

Mon compagnon est un grand fan des fêtes de la bière et surtout de l’Oktoberfest de Munich. Il m’a expliqué en détail l’organisation de cette fête : les Theresienwiese, les tentes immenses et magnifiquement décorées, les orchestres, les grandes tables, la nourriture que l’on y sert et les costumes traditionnels.

L’année passée, à son retour de l’Oktoberfest de Munich, il m’a parlé des charivaris. Ensemble, en navigant sur internet, nous avons regardé ces créations pleines d’histoires familiales et de références culturelles.

Cela m’a donné envie de réaliser quelque chose d’unique : créer ces bijoux pour homme en me basant sur mon ressenti culturel luxembourgeois. En tant que graphiste, j’ai déjà dessiné plusieurs symboles luxembourgeois tels que le Roud Léiw, la Gëlle Fra, le blason de ma commune. Ce sont des adaptations dans mon style artistique – mais en tenant compte des traits significatifs des emblèmes.

Ainsi, avant de soumettre l’idée de faire des charivaris luxembourgeois à Martine Schmit, je me suis mise à les imaginer et à les dessiner.

C’est avec un grand plaisir que je partage avec vous toutes les étapes qui ont abouti à la réalisation des premiers charivaris luxembourgeois.